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Par Luko
Colocation : le guide complet pour tout savoir avant de se lancer !
Aujourd’hui, la coloc a la cote ! Entre amis, étudiants, adultes, séniors ou intergénérationnelle, de plus en plus de locataires se tournent vers la cohabitation à plusieurs. Logements plus grands, partage des frais, entraide, etc. La colocation dispose d’avantages non négligeables. Pour que tout se passe au mieux, voici un guide complet : administratif, contrat de bail, assurance, on vous dit tout !
Vous avez trouvé votre coloc idéale ? Félicitations ! Comme pour une location classique, certaines démarches administratives doivent être réglées avant votre emménagement : signature d’un contrat de bail, état des lieux, assurance habitation pour locataires, etc. Voici donc quelques conseils pour un début de colocation réussi et sans stress.
Signer un contrat de location, ou contrat de bail, est obligatoire lorsque l’on souhaite faire une colocation. Ce contrat, signé par le bailleur ou son mandataire et les colocataires lors de la remise des clés du logement, comporte obligatoirement les éléments suivants :
Dans le cadre d’une colocation, on distingue deux types de contrats de bail :
Attention, chaque colocataire doit impérativement signer un contrat de bail, qu’il soit individuel ou collectif, sous peine de ne pas être considéré comme un colocataire, mais comme un simple occupant du logement.
L’état des lieux d’entrée a pour but de mettre d’accord le bailleur et les colocataires quant à l’état du bien au moment de la location.
Cet état des lieux se fait généralement lors de la remise des clés du logement, et doit être réalisé de façon contradictoire : c’est-à-dire que le bailleur et les colocataires doivent effectuer la visite ensemble pour confirmer ou non les informations présentes sur le document et le signer.
Dans le cas d’un bail individuel, un état des lieux d'entrée — et donc de sortie — doit donc être effectué pour chaque colocataire ! Le document attestera ainsi de l’état de la pièce privative du colocataire ainsi que des parties communes.
Dans le cas d’un bail collectif, un seul état des lieux d'entrée est fait en présence du bailleur et de l’ensemble des colocataires. Cette fois, toutes les pièces seront mentionnées : chambres et parties communes. Si un nouveau colocataire arrive plus tard ou en remplace un autre, il est recommandé — mais pas obligatoire — de faire un état de lieux d’entrée intermédiaire.
L’état des lieux est très important, car il garantit au bailleur de retrouver son bien dans le même état qu’avant la location — ou d’être remboursé en cas de dégradations — et assure également aux colocataires de récupérer leur dépôt de garantie à la fin de leur bail.
Voici quelques points importants pour un état des lieux réussi :
Une fois réalisé, l’état des lieux doit être signé et daté par le bailleur et l’ensemble des colocataires, et être annexé au bail de location. Tous les colocataires doivent également en recevoir une copie.
Le dépôt de garantie — souvent appelée à tort « caution » — est une somme d’argent versée au bailleur lors de la remise des clés. Cette somme ne peut pas excéder le montant d’un mois de loyer hors charges pour un logement loué vide, et de deux mois de loyer pour les logements meublés.
Le but d’un dépôt de garantie est de couvrir les éventuels loyers en retard ou les frais de réparation en cas de dégradations dans le logement après le départ des colocataires. Attention, le dépôt de garantie n’est pas une avance faite au bailleur, et ne dispense en aucun cas les colocataires de régler leurs loyers ou leurs charges !
Légalement, le dépôt de garantie n’est pas une obligation : pour être exigé par le bailleur, il doit impérativement être inscrit dans le bail de location.
La caution, ou le garant, est une tierce partie qui s’engage à prendre en charge le paiement des loyers si les colocataires ne sont plus en mesure de les payer. Ce garant peut être une personne physique, comme un parent ou un ami, ou une personne morale : la banque ou l’entreprise de l'un des colocataire par exemple.
Pour un bail individuel, chaque colocataire dispose de sa propre caution : en cas de défaillance, cette dernière ne prendra en charge que la part du colocataire dont elle est garante.
Dans le cas d’un bail collectif en revanche, un garant unique s’engage pour tous les colocataires et devra donc régler la totalité du loyer si besoin. On parle alors de caution solidaire.
La présence d’un garant doit impérativement être inscrite dans le bail de location, et un acte de cautionnement doit également être rédigé. Cet acte doit obligatoirement contenir les informations suivantes :
Si le bailleur a souscrit une assurance loyer impayé, il n’a pas le droit d’exiger un garant en plus, sauf si les colocataires sont étudiants ou apprentis, car ces deux garanties ne sont pas cumulables.
Tout comme les locataires classiques, les colocataires sont dans l’obligation de souscrire une assurance habitation ! Alors, comment choisir son assurance quand on est en colocation ?
Cette assurance doit comporter au minimum une garantie responsabilité civile, ainsi qu’une garantie risques locatifs (garantie incendies et explosions, garantie dégâts des eaux).
Deux possibilités s’offrent aux colocataires :
Sachez qu'il est également possible de convenir avec le bailleur que c’est ce dernier qui souscrira une assurance habitation pour le compte des colocataires, et répercutera son coût sur le montant du loyer. Une option capitale en cas de défaut d'assurance du locataire.
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Vivre en colocation est généralement une très bonne expérience ! Cependant, la vie en communauté nécessite de respecter quelques règles pour assurer une bonne entente et éviter les conflits.
Le loyer est l’une des dépenses les plus importantes dans une colocation. Pour son paiement, deux possibilités :
Dans tous les cas, que le bail soit individuel ou collectif, le montant du loyer et sa répartition en quotes-parts doivent être précisés dans le contrat de location.
Concernant le paiement en lui-même, c’est aux colocataires de s’organiser : soit l’un deux fait un virement unique au bailleur, soit chacun s’occupe de payer sa part séparément. Un prélèvement de la part du mandataire du bailleur peut également être envisagé s’il s’agit d’une agence immobilière par exemple.
Concernant les charges locatives, ce sont généralement des charges dites « récupérables » : le propriétaire les avance puis répercute ce coût auprès de ses locataires.
Il s’agit par exemple de l’entretien des parties communes extérieures ou intérieures, de l’équipement du bâtiment, des ascenseurs et cages d’escaliers, mais également du chauffage s’il est collectif à l’immeuble et à la production d’eau.
Dans la majorité des cas, le montant des charges est réparti de façon égale entre tous les colocataires.
Concernant les autres charges du logement, comme l’électricité, Internet et les diverses réparations locatives par exemple, c’est aux colocataires de se répartir les frais équitablement, selon une organisation qui leur est propre.
La taxe d’habitation doit toujours être payée par la ou les personnes occupant le logement au 1er janvier de l’année. Dans le cadre d’une colocation, c’est donc à l’ensemble des colocataires de diviser le montant à payer en parts égales ou proportionnellement à la surface des chambres de chacun, et ce, même si l’avis de taxe d’habitation est établi au nom d’un seul colocataire.
Depuis 2018, la taxe d’habitation est progressivement supprimée pour les foyers les plus modestes et disparaitra totalement pour toutes les résidences principales d’ici 2023.
En plus du recours à un garant ou une caution, le propriétaire peut insérer une clause de solidarité dans le bail de location pour se protéger des loyers impayés. Cette clause stipule que tous les locataires sont redevables de la totalité du loyer : si l’un deux ne paie pas sa part, les autres s’engagent à la prendre en charge.
Dans le cadre d’un bail collectif, la présence d’une clause de solidarité impacte également le garant ! En effet, en cas de non-paiement d’une part du loyer, le bailleur peut se tourner vers la caution pour être payé, même si cette dernière n’est pas liée directement au colocataire défaillant.
En cas de départ d’un colocataire, lui et son garant restent solidaires du paiement du loyer jusqu’à 6 mois maximum après ce départ, où jusqu’à ce qu’un nouveau colocataire soit trouvé pour le remplacer.
Colocation et aides au logement — ou APL — fournies par la CAF sont tout à fait compatibles. Leur attribution dépend du type de bail signé :
Dans tous les cas, chaque colocataire doit faire sa propre demande d’APL auprès de la CAF et déclarer ses revenus, sa part de loyer mensuel ainsi que le nombre de colocataires présents dans le logement.
Le pacte de colocation n’est pas obligatoire, mais peut être un bon moyen de fixer les règles de vie de la colocation et ainsi éviter les conflits. Pour avoir valeur de contrat, le pacte de colocation doit comporter les éléments suivants :
Ensuite, libre à vous d’y inscrire les règles et clauses souhaitées. Vous pouvez par exemple définir les modalités de partage des charges et leurs paiements, le délai de préavis de chaque colocataire (indépendamment du préavis à donner au bailleur), l’obligation ou non de chercher un remplaçant avant de quitter la colocation ou encore les critères d’acceptation d’un nouveau colocataire.
Un règlement intérieur peut être annexé à ce pacte : règles à respecter dans les parties communes, modalités d’hébergement d’un tiers extérieur à la colocation, répartition des tâches ménagères, etc.
Chaque colocataire doit posséder un exemplaire du pacte, daté et signé par tous.
Pour faciliter le paiement du loyer, des charges locatives ou des différents frais communs à la colocation, il est possible pour les colocataires d’ouvrir un compte bancaire commun. Ce compte doit être ouvert par deux colocataires au minimum, qui en seront alors cotitulaires et responsables solidairement.
Un compte joint en colocation peut être transformé en compte individuel si l’un des cotitulaires quitte la colocation, ou si la colocation se termine.
La vie en communauté peut parfois être stressante, et des désaccords peuvent apparaître entre certains colocataires. Si la plupart des litiges peuvent être résolus à l’amiable en discutant — avec l’intervention d’un autre colocataire pour temporiser par exemple —, certaines situations sont plus délicates.
La première chose à faire est de se référer au règlement intérieur de la colocation s’il existe, ou d’en rédiger un le cas échéant pour éviter des conflits futurs. Si aucune solution n’est trouvée, il est possible de faire appel à un médiateur ou un conciliateur de justice. En dernier recours, une procédure judiciaire peut être lancée, mais attention, car elle sera toujours coûteuse !
Les cas de litiges entre colocataires et propriétaires bailleurs sont nombreux : retard de paiement, montant des charges, état des lieux, état du logement en général, réparations… Pour éviter les conflits, il est évident que chaque partie doit respecter ses obligations !
Cependant, en cas de litige impossible à résoudre à l’amiable, des recours existent. Si le litige concerne le paiement des loyers, il faut obligatoirement saisir la commission départementale de conciliation. Composée de représentants d’associations de bailleurs et de locataires, son rôle est de trouver un compromis pour résoudre le conflit, de façon totalement gratuite.
En cas d’échec, le recours à un médiateur ou un conciliateur de justice peut également être envisagé avant d’entamer une procédure judiciaire.
Il est rare qu’une colocation reste constituée des mêmes membres du début à la fin. Lorsqu’un colocataire décide de partir et donne son préavis au bailleur, les colocataires restants doivent impérativement lui chercher un remplaçant s’ils ne veulent pas voir leur part du loyer augmenter.
Trouver un nouveau colocataire n’est pas toujours une chose facile : voici tous nos conseils pour trouver la bonne personne et l’accueillir dans les règles !
Pour trouver un remplaçant ou un nouveau colocataire, faites tout d’abord marcher votre réseau : il y aura peut-être une personne intéressée parmi vos amis, votre famille ou votre cercle de connaissances !
Il est également possible de trouver un nouveau colocataire en passant par un site de petites annonces ou par les réseaux sociaux par exemple, mais attention à bien détailler votre proposition.
En effet, s’il est recommandé de trouver un nouveau colocataire au plus vite, ne vous précipitez pas non plus : accueillir une personne qui n’est pas en accord avec vos valeurs peut mettre en péril l’équilibre de la colocation.
Lors de la visite, n’oubliez pas de poser certaines questions concernant le mode de vie de votre futur colocataire :
Trouver quelqu’un ayant le même rythme de vie et les mêmes attentes que l’ensemble des colocataires est indispensable pour garantir une bonne entente et éviter les conflits au sein de la colocation !
C’est d’ailleurs pour cette raison qu’il est recommandé aux bailleurs de laisser leurs locataires choisir leur futur coloc : en imposant une personne, les risques de désaccords sont élevés.
Vous avez trouvé la perle rare pour intégrer votre colocation ? Félicitations ! Quelques démarches administratives doivent maintenant être réglées pour intégrer correctement ce nouveau membre à la colocation.
Le bail de colocation doit impérativement comporter le nom de tous les colocataires : lors de l’arrivée d’une nouvelle personne, un avenant au bail doit être rédigé par le bailleur ou son mandataire, et signé par le nouvel arrivant.
Concernant l’assurance habitation, si la colocation dispose d’un contrat collectif, il faudra avertir votre assureur de cette nouvelle arrivée pour mettre à jour votre contrat. En revanche, si chaque colocataire dispose de son propre contrat, le nouvel arrivant devra souscrire lui-même à un contrat et fournir une attestation d’assurance habitation au bailleur.
Il est également recommandé de contacter votre fournisseur d’électricité et d’Internet pour ajouter un nouveau nom à vos contrats : le nouveau colocataire pourra ainsi bénéficier d’un justificatif de domicile facilement.
Une colocation n’est pas éternelle, et de nombreuses raisons peuvent pousser un ou plusieurs colocataires à quitter le logement : études, changement d’activité professionnelle, raisons personnelles ou familiales, ou tout simplement l’envie de déménager !
Quitter une colocation n’est pas plus compliqué qu’une location classique, mais pour un départ en toute sérénité, quelques règles sont cependant à respecter.
Lorsqu’un seul colocataire souhaite quitter le logement, il doit envoyer son préavis au propriétaire bailleur ou à son mandataire. Son courrier peut être envoyé à tout moment, mais doit obligatoirement être en recommandé avec accusé de réception pour être valable.
Une lettre de demande de congé doit comporter les éléments suivants :
Le délai de préavis court à partir de la date de réception du courrier par le bailleur. Par exemple, pour un courrier reçu le 5 septembre avec un préavis de 3 mois, la date d’effet du congé sera le 5 décembre.
Dans le cas d’un bail collectif avec une clause de solidarité, si un nouveau colocataire le remplace, alors le colocataire sortant n’est tenu de payer sa part du loyer et des charges que jusqu’à la fin de son délai de préavis. Dans le cas contraire, il reste solidaire du reste de la colocation au maximum 6 mois après son départ, tout comme sa caution.
Lorsque tous les colocataires souhaitent quitter le logement, ils doivent également envoyer une lettre de demande de congé en courrier recommandé avec accusé de réception. Les éléments à inscrire dans cette lettre sont les mêmes que pour le départ d’un seul colocataire, mais deux possibilités d’envoi existent selon si le bail est collectif ou non :
Les délais de préavis sont les mêmes que pour un colocataire seul : 3 mois en règle générale, ou 1 mois si le logement est en zone tendue.
Le propriétaire d’un logement loué est en droit de donner congé à ses locataires, et donc leur donner un préavis de départ, mais uniquement à la fin du bail et seulement pour les raisons suivantes :
Une lettre de congé doit être envoyée à chaque colocataire dans le cas d’un bail individuel. Dans le cas d’un bail collectif, l’envoi d’une lettre à un seul colocataire vaut pour tous les autres, sauf si le bail ne dispose pas d’une clause de solidarité. Dans ce cas, il faudra également faire parvenir un courrier à chaque colocataire.
La lettre de congé doit obligatoirement comprendre ces éléments :
Cette lettre doit être envoyée en recommandé avec accusé de réception ou par acte d’huissier, 6 mois avant la date de fin du bail ou de son renouvellement. Par exemple, pour un bail signé le 20 septembre, les colocataires devront recevoir leur lettre de congé le 20 mars au plus tard. Si le congé est reçu après cette date, il ne sera pas valable.
L’état des lieux de sortie a pour but de vérifier le bon état du logement, et de s’assurer que les colocataires n’ont pas dégradé des lieux. Il est comparé à l’état des lieux d’entrée afin d’estimer le montant à retenir sur le dépôt de garantie si des travaux sont nécessaires.
Dans le cas du départ d’un seul colocataire disposant d’un bail individuel, l’état des lieux de sortie est obligatoire et doit se faire dans les mêmes conditions que l’état des lieux d’entrée. En revanche, dans le cas d’un bail collectif, si un seul colocataire part, l’état des lieux de sortie (dit intermédiaire) n’est pas obligatoire, mais reste fortement recommandé.
Lorsque tous les colocataires souhaitent quitter le logement, faire un état des lieux de sortie est obligatoire. Dans le cas d’un bail collectif avec une clause de solidarité, il n’est pas nécessaire que l’ensemble des colocataires soient présents pour l’état des lieux : la signature d’un seul d’entre eux est suffisante.
Si le logement est rendu en bon état, sans dégradations imputables aux locataires et que l’état des lieux de sortie est conforme à l’état des lieux d’entrée, alors le bailleur devra restituer l’intégralité du dépôt de garantie aux colocataires.
Attention, cette restitution n’est possible qu’une fois que l’ensemble des colocataires ont quitté le logement et que les clés aient été remises au bailleur.
Dans le cas d’un bail individuel, chaque colocataire verse son propre dépôt de garantie, et peut le récupérer en partant. Dans le cas d’un bail collectif en revanche, le dépôt de garantie est divisé entre tous les colocataires en quote-part. Pour récupérer cette part lors de sa sortie de la colocation, un colocataire dispose de trois solutions :
Concernant le délai de restitution, il dépend de la date de signature du bail :
Le propriétaire bailleur peut effectuer une retenue sur le dépôt de garantie en cas d’impayés de loyers ou de charges, de dégradations ou de travaux locatifs à faire. Il devra cependant justifier le montant de cette retenue avec des devis, factures, etc.
En cas de non-restitution injustifiée de leur dépôt de garantie, les colocataires peuvent prétendre à une majoration de 10 % du loyer mensuel hors charge pour chaque mois de retard de la part du bailleur.
Voir aussi :
Chaque colocataire est tenu de payer sa part du loyer tous les mois, selon le montant défini dans son contrat de bail. Le règlement peut se faire par chèque, par virement bancaire ou prélèvement. Il est également possible d’ouvrir un compte commun pour la colocation afin de faciliter le paiement du loyer et des charges.
Il est possible de bénéficier des aides au logement (APL) en colocation. Si chaque colocataire dispose d’un bail individuel, ils doivent chacun faire une demande avec leurs revenus personnels. Dans le cas d’un bail collectif, les revenus de tous les colocataires sont pris en compte pour calculer le montant des APL.
Vous devez souscrire au minimum une assurance habitation avec une garantie responsabilité civile et risques locatifs. Chaque colocataire peut souscrire son propre contrat, mais il est possible de souscrire un contrat unique pour toute la colocation afin de réduire les coûts.
Si cette clause est présente dans le contrat de bail, cela signifie que les colocataires sont solidaires entre eux : si l’un d’eux ne paie pas sa part, les autres doivent la prendre en charge. Ils restent également tenus de payer leur part de loyer au maximum 6 mois après leur départ si aucun remplaçant n’est trouvé.
Cet article a été confectionné avec beaucoup de soin et d’attention par nos experts afin de vous offrir un éclairage sur le monde de l’assurance. Néanmoins, celui-ci n’a pas vocation à se soustraire aux conseils de professionnels juridiques et immobiliers.
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