Chaque année, après avoir couvert et remboursé les sinistres de ses 150 000 assurés, la néo-assurance Luko s’engage à redistribuer le restant des cotisations à des associations partenaires. C’est le Giveback, un nouveau modèle de rémunération plus vertueux et transparent, destiné à restaurer la confiance des assurés envers leur assureur. Cette année, l'excédent s'élève à 102 000 € et sera reversé aux associations Terre et Humanisme, Habitat et Humanisme, Emmaüs Défi et Simplon, choisies par les assurés.
Un acte de transparence et de solidarité qui fait écho aux déclarations du Président Emmanuel Macron à l'intention du secteur en avril dernier et au sentiment de défiance croissant des assurés qui veulent comprendre où va l’argent de leurs cotisations.
Le Giveback : un modèle vertueux et transparent
L’assurance est souvent perçue comme peu fiable et procédurière, car reposant sur un conflit d'intérêt où l'assureur se retrouve juge et partie. Luko a donc décidé dès sa création d’adopter un modèle de rémunération fixe et transparent en séparant les cotisations de ses assurés en 2 poches distinctes :
- 30% pour rémunérer Luko (employés, locaux, R&D, etc.)
- Les 70% restants pour rembourser les sinistres des assurés et mutualisés avec l’ensemble des assurés
Si le solde de ce fond commun est positif en fin d’exercice, il est versé à l’association choisie par l’assuré. Ainsi, la rémunération de Luko est totalement indépendante du remboursement des sinistres, permettant à la néo assurance de se poser comme un véritable tiers de confiance.
Au titre de l’exercice 2020, 102 000€ d’excédent seront reversés aux 4 associations choisies par les assurés Luko : Terre et Humanisme, Habitat et Humanisme, Emmaüs Défi et Simplon. C’est 25 fois plus que l’an dernier, où Luko a versé 4 000€ à 2 associations
> Bilan complet disponible ici <
Les consommateurs demandent plus de transparence
Depuis plusieurs années maintenant, la transparence et la responsabilité sociale des entreprises sont au cœur des préoccupations des Français, en témoignent les deux ans de la loi Pacte ou de nombreux sondages. Plus de 55% d'entre eux seraient même prêts à boycotter une marque pour ces raisons.
Pour Raphaël Vullierme, CEO de Luko : “Durant la crise, le manque de transparence, souvent reproché à l’assurance, a été encore plus critiqué qu’à l’accoutumée. La suspicion plane quant aux bénéfices que les assureurs peuvent tirer de cette crise. Et faute de transparence, il est difficile de rassurer. Plus que jamais, nous sommes persuadés chez Luko que nous devons tous prendre les devants de la transparence et communiquer sur nos résultats. C’est ce que nous faisons chaque année avec le bilan du Giveback. Et c’est comme cela que nous pourrons replacer les notions de solidarité et de confiance au cœur de nos métiers.”