
Suivre sa consommation électrique en temps réel
Nos conseils pratiques pour suivre votre consommation d'électricité en temps réel.

Par Luko by Allianz Direct
Quelles sont les meilleures techniques pour réduire votre empreinte carbone ? On vous dit tout.
C'est décidé, vous êtes prêt à passer à l'acte et à mettre en place des actions concrètes pour réduire votre empreinte carbone ? Vous avez raison. Les spécialistes sont en effet unanimes et délivrent un constat sans appel : sans actions concrètes, les effets du changement climatique deviendront irréversibles d’ici à quelques années.
Pour limiter les conséquences probables du réchauffement de la planète, chacun à son échelle peut jouer un rôle significatif et limiter son empreinte carbone. Nous pouvons tous, à notre mesure, réduire nos émissions de gaz à effet de serre grâce à des actions simples.
L’empreinte carbone représente la quantité de gaz à effet de serre qu’une personne, une activité ou un pays émet dans l’atmosphère. Elle s’exprime en tonnes de CO₂ équivalent par an. Elle permet de mesurer notre impact sur le climat à travers nos choix quotidiens : transport, alimentation, logement, consommation.
Elle prend ainsi en compte toutes les émissions directes et indirectes liées à la production et à l’utilisation des biens et services. En repensant nos habitudes, nous avons le pouvoir de réduire ces émissions, de freiner le réchauffement climatique et de préserver les ressources de la planète.
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Pour connaître la quantité d’émission de CO₂ dont vous êtes responsable, vous devez analyser plusieurs postes clés : vos déplacements (voiture, avion, transports en commun), votre alimentation (notamment la consommation de viande), votre logement (chauffage, électricité, isolation) et votre consommation (équipements, vêtements, objets neufs).
Le calcul de votre bilan carbone peut être fastidieux. Heureusement, il existe des simulateurs et calculateurs gratuits en ligne, comme celui de l’ADEME. Grâce à un questionnaire détaillé et personnalisé de ce calculateur, vous aurez une estimation personnalisée en moins de 5 minutes. L’outil estimera votre empreinte carbone en tonnes de CO₂ par an et vous propose des actions concrètes pour réduire efficacement vos émissions au quotidien.
Les principaux postes d’émissions de carbone en France sont les transports, le logement, l’alimentation et la construction. Les ménages représentent environ un sixième des émissions nationales. À eux seuls, le logement et les transports comptent pour plus de 110 millions de tonnes de CO₂.
Le dernier rapport gouvernemental sur l'environnement indique que les émissions françaises ont atteint 663 millions de tonnes de CO₂ en 2019, soit environ 10 tonnes par habitant. Depuis 1995, elles ont augmenté de 7 %.
Dedans, la consommation des ménages représente 117 millions de tonnes, dont 68 millions pour les transports (voiture, avion, etc.) et 46 millions d'empreinte carbone moyenne pour le logement (chauffage, électricité, isolation insuffisante). Cela montre que des efforts particuliers doivent être concentrés sur ces deux secteurs.
La bonne nouvelle ? Quelques habitudes peuvent changer cette situation et améliorer l'empreinte carbone moyenne des français. Certaines solutions sont simples et accessibles, comme mieux isoler son logement, réduire les déplacements en voiture ou privilégier des modes de transport moins polluants. Ces gestes, appliqués à grande échelle, peuvent avoir un réel effet sur les émissions nationales.
Il est possible de réduire l'empreinte carbone de son logement grâce à quelques gestes simples comme laver son linge à l'eau froide, baisser le chauffage, passer aux ampoules à économies d'énergie, réduire sa consommation d'eau et plein d'autres petites choses qui peuvent faire une grande différence.
D’après une étude du Ministère de la Transition Écologique, l’empreinte carbone moyenne des Français représentait 11 tonnes de CO₂ par habitant en 2018. Un chiffre plus ou moins stable depuis 20 ans, mais qui reste toujours beaucoup trop élevé pour empêcher le réchauffement climatique !
Côté logement, les émissions de CO₂ liées à l’énergie représentaient 4,6 tonnes par habitant en 2017. Un bilan carbone qui reste plus faible que la moyenne européenne (6,3), mais qu’il est encore possible de diminuer en adoptant les bons gestes.
Il faut savoir que les principales dépenses en énergie au sein des foyers français se décomposent en :
Améliorer l’isolation de son logement est un levier efficace pour réduire sa facture énergétique et son bilan carbone. En limitant les pertes de chaleur, vous consommez moins d’énergie, gagnez en confort et valorisez votre bien. Toiture, murs, fenêtres ou combles : chaque amélioration contribue à économiser durablement tout en préservant l’environnement.
Pour améliorer l'isolation de votre logement, vous pouvez commencer par mettre en place un audit énergétique. Ce bilan, qui peut être réalisé par un artisan, est déductible fiscalement à hauteur de 30 %. Comptez entre 400 et 1 000 € pour un bilan énergétique complet.
Le bilan s'appuiera sur un diagnostic poussé de la performance énergétique de votre habitation, pour vous proposer un certain nombre de recommandations. Le diagnostic analyse précisément le bâti de l'habitation, et les appareils énergétiques utilisés. Les recommandations portent sur l'isolation du bâtiment : toiture, murs, fenêtres et combles notamment.
Le chauffage est le premier poste de dépense énergétique dans les foyers français. C'est le chauffage au fioul qui a la plus forte consommation en CO₂. Le gaz vient ensuite, suivi par l’électricité (147g CO₂e/kWh). C'est le bois qui est la source de chaleur la moins énergivore.
De son côté, le panneau solaire est une option respectueuse de l'environnement, et ce, même lorsqu'elle est complétée d'un autre système de chauffage. L’installation de panneaux solaires sur la toiture de votre maison vous permettra de bénéficier d’une énergie renouvelable et gratuite.
Rapprochez-vous de votre conseil régional, de votre mairie ou de votre fournisseur d'énergie pour savoir si vous pouvez bénéficier d'aides pour changer votre système de chauffage.
Le chauffage à l'électricité peut être une bonne alternative à condition de chauffer votre habitation sans excès et d'avoir des radiateurs en bon état de marche. Si vous le pouvez :
Selon l'ADEME, la précarité énergétique (impossibilité de se chauffer par manque de moyens financiers) touche une personne sur cinq en France.
Baisser le chauffage est un geste simple et efficace pour réduire sa facture et son bilan carbone. L’ADEME recommande de chauffer moins les chambres, couper le chauffage de la salle de bain hors usage et abaisser la température d’1 °C dans chaque pièce, ce qui permet d’économiser environ 7 % d’énergie.
Source : ADEME
Évitez de chauffer toutes les pièces de votre logement à la même température : 17° dans les chambres et 20° dans les pièces à vivre.
Débrancher les appareils en veille et éteindre les lumières permet de réduire sa consommation d’électricité et son bilan carbone. Chargeurs, ordinateurs, télévisions ou box internet consomment même hors utilisation. Adoptez le réflexe de tout couper en quittant une pièce ou avant de dormir, sauf les appareils indispensables comme le réfrigérateur.
Selon l'ADEME, chaque foyer français possède en moyenne une centaine d’appareils électriques et électroniques ! Les appareils électroniques en veilles représentent jusqu’à 10 % de la facture d’électricité d’un foyer. Un chargeur de téléphone continue à consommer même après recharge complète, tout comme un ordinateur branché en permanence. Que ce soit les petits appareils d’électroménagers, mais également la box internet ou l’ordinateur, mieux vaut tout éteindre complètement lorsque vous ne vous en servez pas. Éteindre systématiquement les lumières en quittant une pièce et utiliser des multiprises à interrupteur facilitent la coupure de vos appareils.
Ces gestes simples, cumulés sur l’année, entraînent des économies réelles et un impact positif sur l’environnement. C’est également un bon moyen de prévenir les risques d’incendie domestique, dont une grande partie est malheureusement due à des accidents d’origine électrique.
En France, des réglementations strictes ont été mises en place dans le cadre du Plan Climat Énergie. Plus efficaces énergétiquement, les ampoules à énergie verte et à basse consommation dépensent 75 % de leur énergie en luminosité et 25 % seulement en déperdition de chaleur.
On estime qu'en France, passer aux ampoules basse consommation a fait réaliser de sensibles économies d'électricité (baisse d'environ 1,5 % de la consommation nationale).
Remplacez donc vos ampoules halogènes par des LED. Les LED ne consomment que très peu d’électricité, et ont une durée de vie plus longue que les ampoules classiques. C’est tout simple, mais ça peut vraiment faire la différence ! Pour maximiser les économies, choisissez-les de classe énergie A+ ou A++, avec plus de 20 000 heures de fonctionnement.
Choisir un fournisseur d’énergie verte permet de réduire son bilan carbone et de soutenir la production d’électricité issue de sources renouvelables. C'est une démarche de plus en plus simple à concrétiser. Vous pouvez opter pour l’offre verte d’un fournisseur classique ou 100 % renouvelable si vous souhaitez privilégier l’électricité produite par des installations certifiées.
Le fournisseur d'énergie verte ekWateur, par exemple, est un acteur indépendant qui distribue de l’électricité verte 100 % renouvelable provenant de France ou d’Europe, selon la formule que vous choisissez. Cette énergie est garantie par le dispositif des Garanties d’Origines, qui permet de certifier sa provenance.
L'énergie est l'un des postes qui pèsent le plus dans notre bilan carbone, mais ekWateur vous permet de réduire votre empreinte carbone sans vous compliquer la tâche, puisque le fournisseur s’occupe de tout, sans paperasse et sans frais de dossier. De quoi passer à l’énergie verte sans se prendre la tête !
Réduire sa consommation d’eau est la meilleure façon de préserver cette ressource et de limiter l’énergie nécessaire à son traitement et à son chauffage, réduisant ainsi le bilan carbone. Limitez la durée des douches, coupez l’eau en vous savonnant ou en vous brossant les dents, installez un minuteur ou un mousseur et évitez les bains.
Un Français consomme en moyenne 150 litres d'eau potable par jour, principalement utilisée pour l'hygiène corporelle et l'entretien de la maison.
Passer 15 minutes ou plus sous la douche, comme le font 15 % des Français, consomme beaucoup d’eau chaude et d’énergie. Réduisez votre consommation d’eau :
De plus, mettez le programme Éco de votre lave-vaisselle ou votre machine à laver.
Laver son linge à l'eau froide est écologique et préserve les vêtements. En lavant à 30°C, vous économisez de l'énergie, prolongez la durée de vie de votre linge et obtenez un résultat aussi propre qu'à 60°C. À 60°C, 80 % de l'énergie sert à chauffer l'eau, ce qui est peu écologique.
Utiliser un étendoir réduit l'impact carbone en économisant 350 kWh par an. Si vous devez utiliser un sèche-linge, choisissez-en un à condensation avec pompe à chaleur et ajustez le temps de séchage au linge.
Vous déménagez ? Organiser un déménagement écolo, c’est limiter les déchets, réduire les trajets et réutiliser au maximum le matériel utilisé. Privilégiez la location d’un véhicule adapté pour éviter les allers-retours, utilisez des cartons récupérés, protégez vos affaires avec des couvertures ou des draps et donnez ou recyclez ce dont vous n’avez plus besoin avant le départ.
Et oui, car un déménagement classique génère souvent beaucoup de déchets et de CO₂. Pour réduire cet impact :
Avant même de déballer vos cartons, assurez-vous que votre nouveau logement est couvert. Souscrire une assurance habitation avant d’emménager vous protège en cas de sinistre (incendie, dégât des eaux, vol, etc.).
Construire une maison écologique, parfois appelée maison verte ou durable, est une construction imaginée et conçue dans le souci du respect de l'environnement. Ces maisons cherchent à minimiser leur impact sur la planète : réduire la pollution, optimiser leur consommation énergétique, éviter les déperditions d'énergie, etc.
À ne pas confondre : une maison qui consomme moins de 50 kWh par mètre carré par an est qualifiée de "maison passive". Elle vise à minimiser la consommation d'énergie dès sa conception.
Une maison écologique est conçue dès sa construction pour minimiser son impact environnemental. Elle utilise des matériaux durables et naturels, privilégie un chantier propre et intègre l’environnement local (orientation, terrain) pour optimiser l’efficacité énergétique. Elle combine isolation performante, fenêtres double vitrage, chauffage écoénergétique et sources d’énergie renouvelable comme les panneaux solaires.
Elle intègre aussi des systèmes de gestion de l’eau, comme la récupération des eaux de pluie, pour réduire la consommation potable. Contrairement à une maison autonome, elle n’est pas forcément autosuffisante, mais vise à réduire au maximum son empreinte écologique tout en offrant un habitat sain et confortable.
Construire une maison écologique coûte généralement 10 à 20 % de plus qu’une construction traditionnelle, en fonction de la surface. Par exemple, une maison de 50 m² coûte entre 57 500 € et 90 000 €, tandis qu’une maison de 200 m² varie de 230 000 € à 360 000 €. Ces coûts initiaux sont compensés par des économies d’énergie durables.
Ces maisons permettent de réaliser d’importantes économies d’énergie à long terme, voire de produire plus d’énergie qu’elles n’en consomment. De plus, elles bénéficient d’une forte demande immobilière, favorisant une plus-value à la revente.
Pour assurer une maison écologique, choisissez une assurance multirisque habitation qui couvre l’ensemble de votre logement. Ajoutez des options spécifiques pour protéger vos équipements verts, comme les panneaux solaires, les systèmes de récupération d’eau ou autres installations écologiques.
Aujourd'hui, de nombreuses compagnies d’assurance proposent des contrats d’assurance habitation adaptés et abordables pour les maisons écologiques. Certaines compagnies d’assureurs couvrent par exemple automatiquement les risques liés aux installations écologiques sans imposer de surprime.
En réduisant votre consommation de viande et en privilégiant les légumes de saison, vous contribuez à réduire votre empreinte carbone. L’alimentation représente encore un gros poste de dépense en CO₂. Elle correspond à un quart de nos dépenses en CO₂. Adopter une alimentation peu consommatrice de CO₂, c'est possible !
L’élevage est un enjeu climatique majeur. Il représente 15 % des émissions mondiales de gaz à effet de serre. La viande rouge à elle seule en génère 40 %, le lait 20 %. Réduire leur consommation est donc un geste fort et primordial pour la planète.
De plus en plus de reportages alertent sur les conditions préoccupantes dans lesquelles sont élevés les animaux élevés pour notre consommation. Cette situation a conduit un bon nombre de consommateurs à modifier radicalement leur régime alimentaire et 11 % des 16-25 ans sont désormais végétariens.
Pour ceux qui souhaitent aller encore plus loin, à vous de piocher dans ce glossaire le régime alimentaire qui vous convient le mieux :
La consommation de légumes de saison est fondamentale pour réduire son empreinte carbone. Un calendrier des fruits et légumes de saison peut être un allié précieux et il est très simple de trouver des recettes adaptées, originales et adaptées aux porte-monnaies.
Le saviez-vous ? Consommer hors saison une tomate cultivée, à quelques kilomètres de chez vous sous une serre chauffée, aura un impact écologique littéralement dix fois plus important que de consommer des tomates de saison produites en Espagne.
Attention, nous n'essayons pas de vous dire qu'il est préférable de consommer des tomates poussées sous le soleil de Catalogne ! Mais il vaut mieux patienter un peu et croquer dans une savoureuse tomate en été, plutôt que de consommer des légumes poussés sous serre, gourmands en énergie et bien moins bons que les légumes de saison !
Une autre astuce pour vos fruits et légumes ? Cuisinez-les en entier pour limiter le gaspillage et tirer parti de chaque partie des aliments. Épluchures d’agrumes, troncs de brocolis ou marc de café peuvent être réutilisés de multiples façons : nettoyant maison, recettes créatives comme frittata, gaufres de frites, gelée de queues de fraises ou bouchées de riz croustillantes.
Opter pour les circuits courts réduit l’empreinte carbone liée au transport des aliments et soutient l’économie locale. Acheter directement auprès de producteurs proches de chez vous garantit des produits plus frais, souvent de saison, tout en limitant les intermédiaires. C’est bon pour la planète, pour votre santé et pour votre porte-monnaie.
Certes, la mangue qui nous tend les bras au supermarché est bien tentante, de même que les avocats ou les bananes qui sont si simples à acheter au bout de notre rue... Et pourtant, craquer pour un avocado toast ou pour un smoothie à la banane peut être une véritable calamité pour la planète.
Les AMAP (Associations pour le Maintien d’une Agriculture Paysanne) proposent par exemple des paniers de légumes de saison livrés chaque semaine, rémunérant équitablement les agriculteurs. La Ruche qui dit Oui met également en relation petits producteurs locaux et consommateurs, tout en reversant 80 % du prix de vente aux producteurs.
Pour allier alimentation responsable et moment convivial en famille, pensez aux fermes pédagogiques. Certaines vous invitent à cueillir vous-même vos fruits et légumes, souvent à prix très raisonnables. Une bonne façon pour les enfants de découvrir l’origine réelle des aliments, tout en rentrant à la maison avec un panier frais pour la semaine à un prix raisonnable. Vous trouverez de nombreuses fermes pédagogiques à proximité des grandes agglomérations.
Les applications anti-gaspi permettent de récupérer à prix réduit les invendus alimentaires de commerçants locaux. En quelques clics, vous évitez le gaspillage tout en réalisant des économies importantes. C’est un geste simple, efficace et doublement gagnant : vous préservez la planète tout en allégeant votre budget courses.
Des plateformes comme Phenix ou Too Good To Go proposent jusqu’à 70 % de réduction sur des paniers de produits en dates courtes, disponibles chez plus de 15 000 partenaires en France et en Europe : boulangeries, boucheries, grandes surfaces, restaurants, épiceries, fleuristes, etc.
Un frigo bien organisé prolonge la durée de vie des aliments et réduit le gaspillage. Chaque zone a un rôle précis : bien les utiliser, c’est éviter les oublis et les denrées abîmées. Ce simple geste permet d’économiser de l’argent et de réduire considérablement les déchets ménagers.
Pour tous les demi-poivrons égarés qui ont fini à la poubelle, ne les oublions pas et optimisons le rangement de nos frigos pour que les prochains ne subissent pas le même sort. Chaque compartiment est spécifique à un type d’aliment.
La zone fraîche accueille les produits laitiers : yaourts, fromages, beurre. La zone froide (tout en haut ou juste au-dessus du bac à légumes selon le modèle) est réservée à la viande, au poisson et aux crustacés. Les bacs à légumes protègent fruits et légumes, tandis que la porte accueille œufs, condiments et bouteilles entamées.
Adopter un mode de vie plus économe en CO₂ passe par des choix responsables comme privilégier la seconde main au neuf et planter des arbres. Ces actions réduisent l’impact lié à la fabrication, au transport des produits et compensent les émissions de O₂, favorisant ainsi une consommation durable et la lutte contre le changement climatique.
Difficile de passer à côté des sites de reventes d'objets ou de vêtements d'occasion sur internet. Ces sites sont une mine d'or pour refaire sa garde-robe à petit prix, mais aussi de manière responsable ! Consommer d'occasion permet en effet de réduire à l'impact lié à la fabrication de nouveaux meubles ou vêtements.
Pour réduire l'impact lié à l'acheminement, privilégiez, si vous le pouvez, l'achat d'objet près de chez vous avec une remise en main propre.
Les recycleries et les friperies regorgent de trésors qui n'attendent que vous ! Ces boutiques physiques sont également là pour vous proposer, à des prix défiant toute concurrence, des habits, du matériel de décoration, des livres, d'occasion en parfait état :
Vous pouvez aussi surveiller les dates des brocantes dans votre commune ou proposer à votre municipalité d'en organiser une.
Planter des arbres est une solution naturelle pour absorber le dioxyde de carbone et lutter contre le changement climatique. Ce geste simple aide à réduire considérablement notre impact environnemental, tout en améliorant la biodiversité et la qualité de l’air.
Un arbre mature capte en moyenne 22 kg de CO2 par an. La reforestation pourrait ainsi éliminer jusqu’à 30 % des émissions humaines de CO2 selon l’ONU (Rapport UNEP, 2023).
Des programmes de reforestation comme ceux de l’ONG « Trees for the Future » ou « Reforest’Action » permettent aux particuliers et aux entreprises de soutenir la restauration des forêts dégradées à travers le monde. En ville, planter des arbres dans les jardins, les parcs ou sur les balcons aide aussi à purifier l’air et à rafraîchir l’environnement. Certaines entreprises proposent même à leurs clients de compenser leurs achats carbone en finançant des projets de plantation.
En France, plus de 140 millions d’arbres ont été plantés entre 2018 et 2023 pour restaurer les forêts selon le dernier rapport de l'ONF.
Il faut privilégier les moyens de transports économes, car ils réduisent fortement les émissions de gaz à effet de serre, principal poste d’empreinte carbone en France. Opter pour la marche, le vélo, les transports en commun ou le covoiturage limite la pollution, diminue les coûts de déplacement et contribue à améliorer la qualité de l’air.
En 2019, les moyens de transports ont généré 138 millions de tonnes de CO₂, soit 30 % des émissions nationales. Les trajets en voiture individuelle et les vols courts sont particulièrement polluants. Que ce soit pour des vacances ou des déplacements professionnels, réduire leur usage en favorisant les mobilités douces, le covoiturage ou le train permet non seulement de réduire son empreinte carbone individuelle, mais aussi de désengorger les routes et de réduire les nuisances sonores.
Privilégier le train ou d’autres transports moins polluants pour les trajets courts permet de réduire considérablement les émissions de CO₂. L’avion émet beaucoup plus de gaz à effet de serre par heure de trajet qu’un autre moyen de transport, notamment le train, qui est bien plus écologique pour les déplacements intérieurs.
Le saviez-vous ? Une heure en avion émet treize fois plus de CO₂ que le même temps de trajet en voiture. Monter dans un avion rend votre trajet 1 500 fois plus émetteur de CO₂ que de monter dans un train.
Des propositions ont été mises à l'étude dans le cadre de la Convention citoyenne pour le climat pour supprimer les vols intérieurs à moins de 2,5 heures de vol de l'aéroport de départ. En attendant de voir quels seront les résultats de ces propositions, n'oublions pas ces chiffres avant de nous précipiter dans un vol intérieur pour gagner quelques heures. Et rappelons-nous que si l'on prend en compte le trajet entre notre domicile et l'aéroport, puis entre l'aéroport et notre lieu de destination, si l'on ajoute le temps d'attente, le vol intérieur représente souvent une perte de temps par rapport au train !
Limiter l’usage de la voiture pour les trajets courts est un geste simple pour réduire ses émissions. Marcher, utiliser le vélo ou les transports en commun, quand c’est possible, diminue significativement votre empreinte carbone. Même en voiture, adopter une conduite éco-responsable peut réduire vos émissions jusqu’à 10 %.
Le saviez-vous ? Le train émet 200 fois moins de CO₂ que la voiture.
Beaucoup utilisent leur voiture pour les trajets domicile-travail, même lorsque la distance est inférieure à 1 km. Hors Île-de-France et grandes agglomérations, les transports en commun restent peu accessibles et cela rend la voiture souvent incontournable.
Pour de nombreux Français, la voiture n'est pas un choix, mais une obligation. 75 % des déplacements entre le véhicule et le lieu de travail se font en voiture. Dans ce type de situation, vous pouvez faire un geste pour réduire votre empreinte carbone en :
Le choix de votre véhicule influe également sur votre empreinte carbone. Si vous habitez en ville, un SUV n'est pas forcément la voiture la plus adaptée à l'inverse des véhicules électriques qui sont à ce jour les moins coûteux pour l'environnement.
Pour autant, ce modèle est remis en cause. En effet, la production d'un véhicule électrique demande beaucoup plus d'énergie que celle d'un véhicule thermique. Pour que votre véhicule électrique soit vraiment un véhicule propre, voici quelques conseils :
Le covoiturage est une solution simple et efficace pour réduire le nombre de voitures sur la route. En partageant vos trajets, vous contribuez à diminuer la pollution, les embouteillages et faites des économies sur vos déplacements quotidiens. De nombreuses applications permettent aujourd'hui de mutualiser les trajets en quelques clics.
Avec en moyenne 1,1 personnes par voiture sur les routes en France, l'autosolisme (le fait d'être seul dans sa voiture) apparaît aujourd'hui comme un véritable gâchis et donc comme un levier intéressant pour faire baisser les émissions de CO₂.
La pratique du covoiturage permet d'éviter l’émission de 97 kg de CO₂ en moyenne par mois selon les données collectées par la plateforme de covoiturage Karos qui revendique 2,3 personnes en moyenne par voiture pour les utilisateurs de son application. Voilà qui réduit le nombre de voitures sur les routes !
Pour réduire son impact carbone, il faut limiter, réutiliser et recycler ses déchets. Évitez les emballages inutiles, privilégiez le vrac, réparez plutôt que jeter, compostez vos déchets organiques et triez correctement verre, papier et plastiques. Chaque geste réduit les émissions liées à la production et au traitement des déchets.
Faire les courses, s’acheter de nouveaux vêtements, décorer son appartement, autant d’actions de la vie quotidienne qui, selon ce que l’on consomme, peuvent avoir un réel impact sur nos émissions de CO₂. Heureusement, en optimisant la gestion des déchets, on réduit la pollution et la consommation de ressources, ce qui diminue directement son empreinte carbone.
Adopter le zéro déchet, c’est réduire à la source la production de déchets et ainsi limiter son impact carbone. Cela passe par des choix de consommation réfléchis : acheter en vrac, réutiliser plutôt que jeter, composter ses biodéchets et éviter les objets à usage unique. Chaque geste compte pour alléger notre empreinte environnementale.
326 millions de tonnes : c’est la quantité de déchets générés en France en 2017, selon la dernière étude de l’ADEME. Parmi ces déchets, 568 kilos sont jetés par les ménages. Il s’agit de nous, de vous et de déchets du quotidien qui peuvent pourtant être évités avec quelques astuces Zéro Déchet.
Le meilleur déchet est celui que l’on ne produit pas, telle est la devise du mouvement zéro déchet ! Le zéro déchet n’est pas seulement une tendance : c’est une manière concrète de consommer autrement, de limiter le gaspillage et de réduire la pollution générée par le traitement des déchets.
Pour une maison zéro déchet, il est donc important de savoir gérer ses propres déchets et cela passe souvent par une consommation différente. Voici quelques astuces pour arriver à avoir une maison presque sans déchet :
Aujourd’hui, les produits en vrac ne concernent plus seulement les aliments, mais également la cosmétique ou encore les produits ménagers.
Veillez toutefois à ne pas tomber dans l’effet de mode : ces objets génèrent moins de déchets à condition de ne pas les multiplier.
Pour vous aider dans votre démarche zéro déchet, la méthode des 5 R est un guide simple et efficace :
Améliorer la gestion des déchets à la maison passe par des gestes simples : trier correctement selon les consignes locales, composter ses déchets organiques, réparer ou donner plutôt que jeter, et recycler intelligemment. Chaque action réduit le volume d’ordures, préserve les ressources naturelles et limite notre impact environnemental au quotidien.
Pour bien trier ses déchets, respectez les consignes locales : papier et carton dans la poubelle jaune, verre dans la verte, déchets ménagers dans la marron. Attention, chaque commune peut avoir ses propres règles, alors renseignez-vous. Un tri correct et le compostage réduisent considérablement le volume d’ordures et leur impact environnemental.
Généralement, le bac vert est pour le verre, le bleu pour le papier, le jaune pour les plastiques et emballages, le gris ou noir pour les ordures ménagères. Mais les couleurs des poubelles varient souvent, vérifiez toujours les codes couleur spécifiques à votre commune.
Dans tous les cas, le tri sélectif ne se limite pas à trois poubelles. Certains déchets métalliques, comme les boîtes de conserve ou cannettes, sont recyclables avec le plastique et le papier, tandis que les petits opercules ou capsules doivent être jetés avec les ordures ménagères.
Certains déchets prêtent à confusion : pots de yaourt, mouchoirs en papier ou couvercles en métal ne suivent pas toujours la même filière selon votre ville. C’est pourquoi il est essentiel de consulter régulièrement les consignes de tri de votre collectivité.
La vaisselle en verre, elle, n’est pas recyclable. Ne la mettez pas dans la poubelle de verre avec les bouteilles.
En cas de doute, les logos sur vos produits comme Triman (obligation de trier), l’anneau de Möbius (produit recyclable si la filière existe) ou la poubelle barrée (déchets à déposer en déchetterie) vous guident sur ce qu'il faut faire. Les consignes Info-tri détaillent aussi quel bac utiliser. Le Point Vert, de son côté, signifie seulement que l’entreprise finance le tri, sans garantir le recyclage.
En complément du tri, pensez au compostage. Si vous disposez d’un jardin, installez un composteur pour vos biodéchets. En appartement, optez pour un composteur de cuisine ou rejoignez un compost collectif, souvent mis à disposition par les municipalités. Vous réduirez ainsi le poids de vos poubelles tout en produisant un engrais naturel.
Pour installer un compost en appartement, c'est très simple. Il vous suffit de jeter vos déchets alimentaires (épluchures, coquilles d'oeufs, etc.) dans un grand pot en terre avec des trous et d'installer une soucoupe en couvercle. Remuez la surface deux fois par mois et le tour est joué !
Vos épluchures de fruits et légumes sont fréquemment jetées avec les ordures ménagères, à tort ! Ce sont en réalité de vrais trésors : ce n’est pas pour rien que le compost est surnommé « l’or vert ». En mélangeant régulièrement vos épluchures avec de la matière sèche (feuilles mortes, bois, etc.), vous pourrez obtenir un humus idéal pour rempoter vos plantes ou nourrir votre potager.
Vos déchets verts (taillage des haies, tonte de la pelouse, branches et feuilles d’arbres, etc.) peuvent être apportés en déchetterie. Un bac leur est dédié : ils seront par la suite broyés et revalorisés en compost ou en production d’énergie grâce à la méthanisation ou à la combustion. Dans certaines communes, vous disposez d’une poubelle dédiée et un ramassage spécifique est organisé régulièrement.
Attention, il est interdit de faire brûler ses déchets verts, sous peine d’une amende de 450 €. Vous risquez non seulement de polluer l’air, mais également d’engendrer un incendie domestique.
Plutôt que de jeter, réparez, donnez ou upcyclez vos objets, meubles et vêtements. Réparer un vêtement ou un vieux meuble prolonge sa vie, tandis que le don permet à d’autres d’en profiter. L’upcycling transforme vos vieux meubles et matériaux en pièces uniques. C’est original, généralement moins cher que du neuf et surtout, bon pour la planète !
L'heure est à la réparation et au raccommodage. De nombreux tutos en ligne vous guident pour raccommoder vos vêtements et leur redonner une seconde jeunesse. C'est le meilleur moyen de remettre fièrement une robe ou un chemisier que l'on pensait perdu. Vous serez surpris du résultat ! Et si vous ne portez plus certains habits, pensez à les donner à des associations ou déposer vos vêtements usagés dans des bornes dédiées comme Le Relais.
Vous souhaitez faire de la place dans votre bibliothèque ? Des associations permettent d'envoyer les livres dont vous ne voulez plus et de profiter en échange d'un bon d'achat.
Pour les meubles ou objets encombrants, des structures comme Emmaüs proposent des collectes gratuites à domicile. Enfin, laissez libre cours à votre imagination en recyclant vos vieux tissus en chiffons, vos bouteilles en vases, ou vos planches en étagères : un geste simple et écologique.
Certains déchets nécessitent un traitement particulier pour être recyclés correctement et éviter la pollution. Métal, polystyrène, médicaments, piles ou encombrants : chacun a sa filière dédiée. Respecter ces consignes permet de préserver l’environnement, d’économiser les ressources et de réduire nos déchets.
Et oui, si trier ses déchets est aujourd’hui un automatisme pour un grand nombre de Français en ce qui concerne le verre, le papier ou encore le carton, certains emballages sont encore trop souvent mis dans les mauvaises poubelles. Chaque type de déchet ne se recycle pas de la même façon, c’est pourquoi le tri est important.
Retenez toutefois que les consignes peuvent varier selon les équipements du centre de tri dont vous dépendez. Pour connaître toutes les consignes de votre commune, rendez-vous sur le site de Citeo !
Le métal et l’aluminium sont recyclables pratiquement à l’infini et doivent donc être jetés avec les autres déchets à recycler comme le papier et le plastique. Cela concerne toutes les boites de conserve, boites en métal, cannettes de boisson, barquettes et moules en aluminium.
Les opercules, capsules et emballages de portions de fromage sont encore trop petits pour être correctement recyclés et doivent, pour le moment, être jetés avec les déchets ménagers.
Contrairement aux idées reçues, le polystyrène peut être recyclé et se jette avec les autres déchets recyclables. On le retrouve généralement sous forme de barquette pour les aliments frais, mais également dans les emballages de colis. Les grands morceaux de polystyrène ou les grands volumes de confettis doivent de préférence être déposés dans une déchetterie, sous réserve d’être propres.
Qu’ils soient périmés ou non, le reste de vos médicaments ne doit pas être jetés dans votre poubelle ménagère. En effet, leurs composants peuvent rejeter des produits chimiques dans la nature et contaminer l’eau ! Vous devez donc les rapporter en pharmacie pour qu’ils soient traités correctement.
Les boites en carton, notices en papier et tubes plastiques vides peuvent, quant à eux, être jetés avec les déchets recyclables.
S’il est conseillé de garder vos radiographies pour un meilleur suivi médical, il est possible de les rapporter en pharmacie si vous souhaitez vous en débarrasser. Ne les jetez pas avec les déchets ménagers, elles contiennent des sels argentiques dangereux pour l’environnement.
Ces déchets ne doivent en aucun cas être jetés avec les ordures ménagères ni avec les matériaux recyclables, car ils font l’objet d’un tri spécifique pour être revalorisés par la suite. Vous pouvez les rapporter dans un magasin de bricolage ou de fournitures de bureau s’il dispose d’un bac de collecte dédié ou dans une déchetterie.
Concernant les batteries de voiture, il est interdit de s’en débarrasser dans la nature sous peine d’une amende de 460 euros ! Rapportez-la plutôt à votre garagiste qui s’occupera de la recycler. En dernier recours, vous pouvez également la déposer dans un bac dédié en déchetterie.
Les déchets encombrants, comme leur nom l’indique, ne peuvent pas être pris en charge par le service de collecte d’ordure ménagère, car ils sont trop volumineux. C’est le cas du mobilier ou des appareils électroménagers par exemple. Pour vous en débarrasser, vous pouvez les apporter en déchetterie ou contacter votre mairie pour organiser un enlèvement gratuitement.
Vous n’aurez plus qu’à déposer vos objets sur le trottoir, avec une feuille mentionnant le numéro de dossier qui vous aura été communiqué.
Le dépôt sauvage d’ordures dans la rue ou dans la nature est passible d’une amende de 135 €.
Si vos meubles sont en bon état et qu’ils peuvent encore servir, vous pouvez les donner à une ressourcerie ou une association comme Emmaüs ou le Secours Populaire. Certaines viennent même directement chez vous pour collecter vos dons !
Sont considérés comme déchets dangereux tous les produits chimiques qui contiennent des éléments toxiques pour la santé ou l’environnement. Vous les reconnaîtrez grâce au logo dans un carré rouge situé sur l’emballage. Ils font l’objet d’une réglementation particulière et doivent impérativement être déposés en déchetterie, dans les bacs dédiés.
On retrouve donc dans cette catégorie les pots de peinture, lasures et vernis, les bouteilles d’huile de moteur, les détergents, les insecticides, les aérosols, les colles ainsi que tous les produits inflammables, corrosifs, explosifs ou même irritants.
Le recyclage est un enjeu écologique majeur, car il permet de réduire nos émissions de gaz à effet de serre en limitant l’utilisation de nouvelles ressources dont l’extraction est souvent polluante, mais surtout d’économiser l’eau en grande quantité.
En consommant mieux et en jetant moins, chacun contribue à protéger l’environnement tout en réalisant des économies durables.
Selon les données de l’ADEME, près de 75 % des emballages recyclables sont correctement triés en France en 2024. L’objectif est d’atteindre 100 % d’ici à 2026, afin de réduire de 40 % l’enfouissement des déchets et réduire de 30 % les déchets ménagers des foyers français à l’horizon 2030.
Côté économique, le recyclage fait partie intégrante de l’économie circulaire et devrait créer près de 440 000 emplois d’ici à 2030. Pour les particuliers, jeter moins signifie également consommer mieux en privilégiant les objets réutilisables qui sont, à terme, bien plus économiques.
Le volume d’e-mails stockés a un impact environnemental réel : chaque message consomme de l’énergie dans les data centers. Trier régulièrement votre boîte mail en supprimant les messages inutiles et en vidant la corbeille réduit cette consommation. Adoptez ces gestes simples pour limiter la pollution numérique au quotidien.
Aujourd'hui, le numérique représente plus de 4% de la consommation mondiale d'énergie. La pollution numérique est une réalité, et prend de plus en plus d'ampleur. Difficile de concevoir qu'un mail ou un document envoyé dégage de l'énergie. Pourtant, ces "déchets" immatériels sont pourtant de véritables calamités pour la planète.
Vous pouvez agir à votre échelle pour réduire la pollution numérique :
Favorisez la réparation de votre matériel informatique ou de votre téléphone plutôt que d'acheter des nouveaux appareils au moindre problème.
Voir aussi :
Pour réduire le gaspillage alimentaire, planifiez vos repas, achetez uniquement les ingrédients nécessaires, utilisez vos restes dans de nouvelles recettes et conservez correctement vos aliments en respectant les températures de stockage recommandées.
Pour réduire son empreinte carbone en entreprise, il est essentiel de suivre les réglementations environnementales en vigueur et d’adopter des pratiques durables. Cela inclut notamment l’optimisation des consommations énergétiques, le tri des déchets et la sensibilisation des collaborateurs à des gestes écoresponsables.
Tournez-vous vers les associations, les ONG ou les collectifs engagés proches de chez vous ! S’impliquer dans la vie politique locale est également un bon moyen de faire pression sur les décideurs qui votent les lois.
Les gros cartons doivent être pliés ou découpés, puis déposés dans le bac dédié au papier et carton, généralement de couleur jaune. S’ils sont trop volumineux ou nombreux, il est préférable de les apporter directement en déchetterie pour garantir leur recyclage optimal.
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